Les pièges de la pensée

Penser uniquement aux résultats possibles à l'un ou l'autre extrême (vraiment bon ou vraiment mauvais) et ne pas voir tous les résultats possibles entre les deux (ou le "gris"). La majeure partie de la vie se situe quelque part au milieu.

• Un ami se met en colère contre vous : "Personne ne m'aime, je ne suis pas aimable et je suis égoïste".
• Exposé à l'école " "Je vais soit réussir mon exposé, soit me planter complètement".

Imaginer le pire scénario, aussi improbable soit-il.

• Une mauvaise note "Je n'entrerai pas à l'université et je me retrouverai à la rue".

Exagérer la probabilité que quelque chose de mauvais se produise.

• "Si j'ai une crise de panique, je vais avoir une crise cardiaque et mourir !

Croire que l'on peut prédire l'avenir. Mais c'est impossible car vous n'avez pas de boule de cristal.

• "Personne ne me parlera à la fête."

Porter des jugements à l'emporte-pièce sur nous-mêmes (ou sur les autres) sur la base d'une ou deux expériences. Ces pensées contiennent généralement les mots "toujours" et "jamais".

• Un ami s'énerve contre vous : "Je gâche toujours mes amitiés. Je n'ai pas de vrais amis."
• Rater un but de foot " " Je ne fais jamais les choses correctement ".

Croire que l'on sait ce que pensent les autres (et supposer que c'est négatif), sans aucune preuve réelle. Le problème : vous ne pouvez pas lire dans les pensées, alors arrêtez d'essayer.

• "Je sais qu'ils parlent de moi en ce moment. Ils pensent au fait que j'ai l'air bizarre."
• "Tout le monde se demande ce que je fais à cette fête."

Se concentrer uniquement sur les aspects négatifs sans voir les aspects positifs ou ce qui va bien.

• Penser à la seule conversation gênante que vous avez eue à la fête, plutôt qu'aux trois grandes conversations que vous avez eues.